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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 18:15

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Oui, il y a deux leçons 12, je suis une élève de prépa qui a craqué...

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 18:12

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Je suis complètement amoureuse de cette pièce ! La beauté des vers raciniens me transporte, et l'histoire me touche beaucoup parce qu'à l'époque où je l'ai lue j'étais très amoureuse à sens unique...

Je pense que mes amis doivent parfois penser la même chose que ce que dit le prof-renard, je peux être très pénible et intarissable quand je suis amoureuse...

Et vous ?

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 18:11

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 18:08

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Sérieusement, vous lisez souvent dans le journal que le christiannisme (oui, je me suis trompée de mot dans le dessin) est déprimant ? Ou alors je ne lis pas les mêmes journaux que mon prof de philo et mon lectorat...

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 18:06

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 19:10

Lundi 28 mars

6h30 Qu’est ce que c’est que ce b…azar, le réveil sonne alors que c’est pas l’heure ? J’appuie sur les touches de mon téléphone pour voir l’heure avant de réaliser qu’il est éteint. J’ai un cerveau diesel qui met longtemps à démarrer, mais je me lève quand même et en voyant le signal « play » clignoter, l’idée qu’il est bien l’heure de se lever parvient à apparaître dans la brume de mon cerveau. Ma sœur grogne et j’éteins le réveil. En me préparant, je regarde l’heure et me souviens que j’ai prévu d’aller à la poste avant de prendre le bus pour aller au lycée. Les automatismes reviennent. Lavage, habillage, parfum, maquillage, coiffure, bijoux… Et merde j’ai pas pris de papier pour le DST ! Ni de bandeau pour mes cheveux. Ni le livre de géo à bosser un peu ce midi. Ni mon biscuit pour 10h. Oui, je garde mes paquets de biscuits dans ma chambre. Coup d’œil à l’heure : Zut faudrait que j’aille manger si je veux tout faire. Passage rapide par la chambre où dort ma sœur, et donc où il n’y a pas de lumière.

7h C’est la première fois depuis longtemps que je respecte mes horaires ! Ptit déj. Rangement de ce que j’ai récolté dans la chambre. Fouille des poches de l’imper rose pour remplir celles du manteau rouge.

7h20 Et départ en avance ! Dans la rue je vois un bus passer dans l’autre rue en contrebas. Ah, dommage. Je traverse pour aller à la poste. Un deuxième bus passe. Ben tiens. Je traverse à l’arrache, grimpe jusqu’à la poste, enveloppe dans la boîte et voilà. Au passage piéton, un troisième bus me passe devant. C’est vrai que c’est pas drôle sinon. Mais il y en a un juste derrière que j’attrape. Et pas trop plein en plus. Finalement la journée commence bien !

8h Autour de moi ça  révise le vocabulaire d’anglais. Pas déprimant du tout. La prof entre en classe « séparez les tables ». Ah pas si bon début, en fait.

 

Jeudi 3 mars

8h30 J’arrive pas à m’y mettre. J’ai déjà analysé les vingt premières lignes  du texte (sur cinquante) mais rien à faire je m’endors et je décroche.

8h45 J’ai « tu vuo fa’ l’americano » de Renatto Carrosone dans la tête, et je continue à m’endormir.

8h55 « L-N B » ça sonne un peu comme « Hélène B », soit Hélène Boucher…

9h analyse finie, méthode lue, il faudrait écrire maintenant. Je commence à me réveiller.

9h10 ça y est je suis réveillée pour de bon ! J’ai même commencé mon plan, plus qu’à faire intro et conclusion et il ne me restera plus qu’une heure pour tout écrire ! Mouaif…

9h15 Oh ba mince ! deux petits soldats de moins !

11h Valà finiiiiii !! Et à l’heure en plus ! Youpi !

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 19:36

Mercredi 2, pour mon anniversaire, j'avais une dissertation de géographie à rendre sur les déserts. Je la mets ici, au cas où ça intéresserait quelqu'un. Avec, la playlist constituée à cette occasion. Elle est d'ailleurs collaborative alors si l'envie vous prend d'y ajouter quelque chose allez-y !

 

 

La playlist: http://www.deezer.com/fr/music/playlist/desert-57595959

et le lien pour la complèter: http://www.deezer.com/sharedplaylist-57595959-bda60767 

 

Le mot désert appelle diverses notions, différentes selon les cultures, les pays, et le domaine scientifique dans lequel ce mot est défini. En effet, climatologues et géographes n’ont pas les mêmes critères de définition. Les divergences viennent sans doute du fait que  l’on parle le plus souvent de désert comme d’un lieu dont l’Homme est absent. C’est pourquoi on parlera avec quelque excès de « désert humain » ou de désertification d’une région lorsqu’il n’est question que de diminution de la densité de population mais à une échelle incomparable avec celle des déserts reconnus comme tels. Un des critères de définition du désert est le taux de population égal ou inférieur à 3 hab. /km². La présence de l’homme n’est donc pas totalement inexistante.

 Avec les études scientifiques, le mot désert a pris un sens biologique, c’est pourquoi nous retiendrons les critères d’aridité (qu’il s’agisse d’hyper-aridité, avec des précipitations de 10 à 50 mm par an, d’aridité ou de semi-aridité) et nous baserons sur la présence permanente d’anticyclones, celle-ci provoquant la faiblesse extrême des précipitations et donc l’aridité. Nous nous intéresserons donc aux déserts du Nevada, d’Atacama, du Sahara, du Kalahari, du Turkestan, de Gobi, de Gibson, de Victoria ainsi qu’aux déserts polaires c’est à dire l’inlandsis arctique et ceux s’étendant de la côte septentrionale de l’Eurasie au littoral du Groenland et du Labrador, et de la côte septentrionale de l’Amérique du Nord à l’Alaska.

Ces déserts physiques, sont-ils aussi des déserts humains ? La rareté des ressources animales et végétales implique-t-elle l’absence d’Hommes?  Ou est-il possible de vivre dans ces conditions de vie très difficiles? Nous verrons donc comment l’Homme vit dans le désert, puis comment les déserts sont envisagés par ceux qui n’y vivent pas.

 

 

 

 

Il convient avant tout de différencier les divers déserts que nous avons choisis d’étudier.

Quelles sont les causes de l’aridité ? Nous l’avons dit, ce sont les anticyclones. Mais il peut aussi s’agir d’un effet d’abri, c'est-à-dire d’air bloqué par de hautes montagnes, d’un effet de continentalité c'est-à-dire de l’éloignement des masses d’air maritimes ou encore de la présence de courants marins froids refroidissant l’air et empêchant les ascendances censées provoquer la pluie.

On distingue les déserts zonaux. Parmi ceux-ci, les déserts chauds, qui sont sous l’influence de hautes pressions tropicales et éloignées des masses maritimes et se trouvent sur la diagonale aride qui se situe sur la côte mauritanienne, l’Arabie, le Nord du Mexique. Il s’agit du Sahara, du désert du Nefoud, du Chihuahua, du désert de Gibson et de Simpson. Les autres déserts zonaux sont des déserts polaires. L’eau n’y manque pas (le bilan hydrique est excédentaire) mais les précipitations y sont faibles (250mm/an) et le sol trop éloigné sous la glace pour être exploité. Il est donc bien question d’aridité. Il s’agit de l’Antarctique, du Groenland, des parties septentrionales de l’Amérique du Nord (Labrador..), de la Scandinavie et de la Russie.

 Les déserts côtiers sont brumeux et subissent des courants froids, ce qui inverse le temps et la condensation. Ce sont les déserts du Namib et d’Atacama.

Les déserts d’abri sont victimes de l’influence des hautes montagnes qui barrent le passage à l’air froid lequel est obligé de monter et donc empêche les précipitations, créant ainsi un anticyclone. Ce sont les déserts du Grand Bassin, de Sonora, de Mojave au Nevada et Nouveau-Mexique, les déserts de Patagonie et les régions du sud de Madagascar.

 Les déserts continentaux sont victimes de l’éloignement des masses d’air maritimes qui ne peuvent donc apporter de l’humidité aux atmosphères de ces régions. Ce sont les déserts de Gobi, du Taklamakan, du Tibet (effet amplifié par l’altitude).

 

 

 

 

 

Les milieux désertiques impliquent certaines contraintes qui influencent les modes de vie et par cela l’économie. Un milieu désertique, nous l’avons dit, est un milieu où les ressources naturelles sont rares, c'est-à-dire qu’elles ne sont pas regroupées de manière dense et uniforme. Les points d’eau par exemple sont très espacés : les oasis et les puits sont distants de plusieurs kilomètres, ainsi que les mares et les oueds (lesquels n’existent qu’après les pluies). De même pour la végétation qui est peu abondante et répartie de manière inégale. Les animaux sont donc contraints d’avoir des organismes adaptés à cet environnement. Ainsi certains ont de faibles besoins en eau ou bien parviennent à l’économiser par divers mécanismes. L’Homme ne s’est pas adapté physiquement mais a adapté son mode de vie à ses contraintes. Ainsi, le nomadisme permet d’aller d’un point d’eau à un autre, ceux-ci étant insuffisants pour subvenir aux besoins d’un groupe humain important et de leurs animaux. Ces derniers ayant besoin de pâturages ils sont une raison de plus au nomadisme. En effet ces pâturages sont le plus souvent des champs de plantes éphémères qui ne se renouvellent que pendant trois ou quatre semaines, c’est pourquoi il est nécessaire de se déplacer pour suivre le front pluvieux qui provoque la germination. Ainsi le nomadisme est aussi lié aux plantes nécessaires à l’alimentation qui ne sont pas non plus réparties densément. Il existe bien sûr des ressources végétales spontanées qui peuvent être récoltées et consommées telles les graines et les feuilles de certaines plantes, la gomme de certains arbres, leurs feuilles pour le fourrage et la manne (concrétion sucrée produite par certains arbres et feuilles). Ces graines sont recueillies par le balayage, par la fouille des fourmilières ou encore par la cueillette. Mais il est aussi possible de forcer cette production par l’agriculture. Ainsi le mil est cultivé sur les dunes des anciens ergs, mais les terres étant fragiles et pauvres, il est nécessaire d’employer le système des jachères.Toutes les terres désertiques n’étant pas cultivables, on constate là encore la nécessité du nomadisme. Bien sûr, les oasis sont également des lieux où l’agriculture est possible. Par des systèmes d’irrigations, des terrasses arborées peuvent être aménagées.

Mais tous les sols ne sont pas exploitables, le sable n’étant pas une terre fertile, ou le sel étant trop présent. Mais les sols trop riches en sel ne sont pas pour autant des lieux condamnés et inexploitables. En effet, le sel a été pendant longtemps une monnaie d’échange et il est encore aujourd’hui une denrée précieuse, d’autant plus que le sel du désert a des propriétés que n’a pas le sel marin. Ce sel est recueilli de deux façons. Sous forme de sel gemme, c'est-à-dire de couches géologiques, il est découpé par plaques. Mêlé à la terre, il est mélangé à des eaux salées dans des salines. Sous forme de barres, il est extrait des mines de sel. L’exploitation de ces mines est dépendante des caravanes ou des camions pour subvenir aux besoins des ouvriers, les sols alentour étant inexploitables et ne produisant donc pas de quoi survivre. Le sel n’est pas la seule richesse présente dans les sous-sols des déserts. Ainsi on trouve des hydrocarbures en Algérie (pétrole) ou en Arabie Saoudite (pétrole et gaz naturel), des richesses minières dans le Sahara (minerai de fer, cuivre, uranium, étain) et le désert du Kalahari (diamant). Les sous-sols bien que n’ayant aucun intérêt commercial peuvent être exploités à des fins scientifiques. Ainsi en Antarctique les sols sont utilisés pour des recherches géologiques ; ce continent qui n’appartient à personne est exploité pour la  recherche scientifique internationale.

Mais les Hommes exploitent aussi le désert pour d’autres activités telles le tourisme, la recherche militaire, la retraite religieuse, le sport (le Paris-Dakar), ou encore y créent des villes de toutes pièces. C’est le cas de Las Vegas ou de Dubaï, attractives car ce sont des villes créées à des fins uniquement lucratives.

Mais les déserts ne sont encore que partiellement exploités par ou pour les populations locales: on peut imaginer que leurs contraintes soient transformées en atouts. Le vent en excès peut alimenter des éoliennes, des panneaux solaires peuvent être aménagés puisque les nuages sont extrêmement rares dans le désert. 

 

 

 

 

Les contraintes du désert impliquent donc un mode de vie unique et différent de celui de la plupart des populations. Cette différence provoque la crainte des populations sédentaires et engendre parfois des conflits. C’est ainsi qu’en 1992, au Niger, des paysans sédentaires massacrèrent des Peuls nomades sous prétexte qu’ils avaient laissé errer leurs animaux dans les champs des sédentaires. Bien souvent les peuples nomades n’ont pas de représentativité politique. Etant nomades, ils sont parfois apatrides et n’appartiennent donc à aucune communauté politique. Sauf exception, comme au Canada, avec les Inuit, qui suite à divers conflits régionaux ont été écoutés et pris en compte.

Le nomadisme est un mode de vie très frustre, donc source de paupérisme. Afin de  régler ce problème, les gouvernements préfèrent contraindre les populations nomades à la sédentarisation plutôt qu’imaginer de nouvelles civilisations du désert. Cela devient de plus en plus nécessaire, la désertification étant un phénomène toujours actuel. Ce phénomène a lieu dans les pays en bordure des régions arides et pourtant encore très agricoles. L’aridification est due à des facteurs naturels mais aussi à une intervention humaine. Ces facteurs sont des périodes de sécheresse de plus en plus fréquentes et intenses ainsi que l’érosion. L’intervention humaine est tout d’abord une surpopulation due à une croissance démographique exceptionnelle et l’abandon du nomadisme pastoral au profit de cultures d’exportation donc la rupture des assolements traditionnels et la fin des jachères. Ce qui entraîne des pénuries de nourriture et donc le surpâturage et le défrichement à l’excès. Les tentatives d’irrigation ont pour effet une salinisation des sols ce qui les rend impropres à la culture. Les rendements agricoles continuent donc à baisser, la  nourriture à manquer, les conditions de vie se dégradent, les populations migrent donc, contribuant ainsi à la surpopulation d’autres endroits qui risquent alors le même phénomène. Les Hommes cherchent pourtant des solutions pour lutter contre ce problème. Par exemple, on essaie de retenir le sol par des cordons de pierres et la plantation d’arbustes, de favoriser des cultures sèches, d’utiliser les eaux des fleuves, des nappes et des canaux pour irriguer. Mais les solutions sont du ressort des Etats qui généralement aménagent les terrasses au bulldozer pour en faire des banquettes cultivables, font installer des murettes ou des barrages pour l’irrigation. Ces barrages sont source d’autres problèmes comme la désorganisation du réseau hydrique, la baisse du volume des points d’eau ou encore l’eutrophisation des lacs de barrage, produisant ainsi une eau impure. Les solutions sont très diverses selon les Etats, en fonction de la population, des revenus, de l’éducation de la population… Ce problème n’est pourtant pris en charge que depuis peu de temps, notamment depuis la conférence de Johannesburg en 2002. Celle-ci a donné lieu à la création de la Convention Contre la Désertification qui a pour but d’observer, de chercher des solutions et de guérir la famine. Cependant elle observe davantage qu’elle n’agit.

 

 

 

 

Le problème de la désertification et de l’adaptation de l’Homme au désert est donc un problème toujours présent. Il le sera sans doute de plus en plus avec le réchauffement climatique qui pourrait permettre aux déserts polaires de devenir des zones de vie moins contraignantes (apparition de terres et donc possibilité de culture) mais aggraverait les inconvénients des déserts chauds. Les Hommes devront encore et toujours rechercher des solutions politiques et scientifiques pour s’adapter aux déserts sans les vider de leurs ressources non renouvelables ni de leur population.

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 18:57

21/02

19h. Envoyer des sms sans réponse. Faire l’ado en « jouant » avec son mp3 tout neuf vautrée sur l’atlas. Composer mes « listas marcadores » sur ledit mp3 : une pour avoir la pêche et l’autre pour se défouler. Ça tombe bien je suis de mauvaise humeur. Ecrire mes articles dans ce carnet, à côté de ma fan-fic, c’est un peu comme recommencer un journal intime. Sauf qu’il n’y a rien d’intime. Si on trouve le carnet et qu’un inconnu le lit, voit les deux narrations à la première personne écrites avec deux encres différentes, il croira sans doute à un dédoublement de personnalité voire à de la schizophrénie. C’est quoi la différence entre les deux ? De toute façon,  en hypokhâgne il faut être schizophrène pour pouvoir disserter, c'est-à-dire débattre…avec soi-même.

19h22. J’aime pas la géo ! Mais il faut en faire encore pendant trois mois. Trois mois ? C’est fini dans trois mois ? Waou… Bon. Ça suffit. Je vais lire. Pour le plaisir ! Et après j’irais prier Saint Hypokhâgneux (mort en martyr après avoir passé avec succès 36 concours de l’ENS) pour le salut de mon âme.

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 20:50

Tu vuo fa' l'americano de Renato Carrosone, chantée par Sophia Loren.

 

 

 

A vous !

 

(règle du jeu ici: On joue à un jeu ? )

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 19:59

Colorblind, d'Overtone, proposée par Antoine

 

 

 

A vous !

 

(règle du jeu ici: On joue à un jeu ? )

 

 

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